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mon poumondroit
mes oRganes mes orGanes.
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la poésie est le langage du protéiforme.
je pourrais écrire tout poème est un dessin qui s’ignore,
si je voulais faire mouche mais c’est pas exactement ça.
plutôt : tout poème n’est jamais loin du dessin,
et tout dessin est un poème en puissance.
parce qu’il y a la continuité du tracé.
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mon mon mon
cerveau cerveau cerveau
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mon poumongauche
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(Photo de Anni Roenkae, Pexels )
J’adore le cerveau 😍
Bravo l’artiste !
Merci ! Je pense en faire d’autres, des cerveaux différents 😉 représentatifs de nos neuro-atypies merveilleuses
ce sont des desseins qui s’inventent;
la poésie se ramifie,
elle croît comme une plante
elle prend racine dans son dessin
– et comme la plante, elle fleurit …
Merci. En effet, il y a de la racine et de la pousse dans mes sources d’inspiration. Voici mon blog d’écriture si ça vous intéresse : http://www.lhorticole.blogspot.com
ah oui, je suis allé voir et ai déposé qq lignes…