La biographie d’Emily Dickinson par Dominique Fortier , Les Villes de papier, mérite le prix qu’elle a reçu (Goncourt de l’Essai ?) par l’originalité de son style ;
(belle prose poétique, très simple et très élaborée à la fois) ;
c’est un tour de force que d’intéresser le lecteur à la vie (vide de tout événement notable) de cette recluse, solitaire, qui n’a pratiquement rien publié de son vivant…
Merci de cette information sur une biographie à lire en complément peut-être du film austère de Terence Davies, A quiet passion. Qui n’ a rien du biopic traditionnel puisque il s’attache à retracer la vie de celle qui s’est confinée volontairement auprès des siens….
Les villes de papier pour une vie de papier, donc…chère Emily…