Je ne sais pas comment la petite bossue d’argile le prendrait, mais cela me fait penser à un Balzac lu cet été, La Recherche de l’Absolu, ou il est question d’une boiteuse et de sa beauté, offerte en auto-sacrifice, hélas comme souvent dans ces siècles cruels…du moins y avait-il des artistes pour rendre justice à la beauté des pas normales … la limpidité souriante de la tienne n’est pas sans rapport avec cette héroïne dont j’ai injustement oublié le prénom.
Je ne sais pas comment la petite bossue d’argile le prendrait, mais cela me fait penser à un Balzac lu cet été, La Recherche de l’Absolu, ou il est question d’une boiteuse et de sa beauté, offerte en auto-sacrifice, hélas comme souvent dans ces siècles cruels…du moins y avait-il des artistes pour rendre justice à la beauté des pas normales … la limpidité souriante de la tienne n’est pas sans rapport avec cette héroïne dont j’ai injustement oublié le prénom.