Je découvre le kabassou, et le beau et original couvert qui l’entoure. S’il faut en croire Wikipédia, le kabassou est un tatou géant qui vit en Guyane, et qui présente la sympathique particularité de creuser des terriers qui seront utilisés par de nombreuses autres espèces. Et c’est la seul espèce du genre Priodontes, remarque Wikipédia, ce qui est une remarque certainement considérable; mais elle ne dit rien à mon ignorance. L’ouanderou est un macaque qui vit dans les arbres du sud-ouest de l’Inde, en particulier dans l’état du Kérala. On considère, paraît-il, que ce macaque-là descend directement du premier macaque à avoir atteint l’Asie, il y a cinq millions d’années, et qu’il s’en est le moins éloigné au cours de son évolution, contrairement aux autres macaques auxquels il ne ressemble pas.
Un commentaire digne du formidable musée Lyonnais des Confluences visité cet après-midi sous un beau soleil. Un parcours des origines et des espèces avec une réflexion ludique (pour les jeunes qui viennent en force) sur les dangers actuels qui menacent la planète.
Et quelle architecture simple et logique entre cristal et nuage…
Un grand merci à Oline Ox et aux encyclopédies de toutes sortes vers lesquelles elle nous envoie, sinon ad maximam dei gloriam, du moins ad maximam naturae considerationem. Tout à l’heure peut-être un petit tour au National History Museum de Londres, qui détient encore quelques chers disparus et je tâcherai de trouver toutes ces jolies bêtes encore un peu là dont il faut que je note le nom.
Nommer, dessiner: faire mémoire, que tout au moins n’en disparaisse pas.!
Je découvre le kabassou, et le beau et original couvert qui l’entoure. S’il faut en croire Wikipédia, le kabassou est un tatou géant qui vit en Guyane, et qui présente la sympathique particularité de creuser des terriers qui seront utilisés par de nombreuses autres espèces. Et c’est la seul espèce du genre Priodontes, remarque Wikipédia, ce qui est une remarque certainement considérable; mais elle ne dit rien à mon ignorance. L’ouanderou est un macaque qui vit dans les arbres du sud-ouest de l’Inde, en particulier dans l’état du Kérala. On considère, paraît-il, que ce macaque-là descend directement du premier macaque à avoir atteint l’Asie, il y a cinq millions d’années, et qu’il s’en est le moins éloigné au cours de son évolution, contrairement aux autres macaques auxquels il ne ressemble pas.
Un commentaire digne du formidable musée Lyonnais des Confluences visité cet après-midi sous un beau soleil. Un parcours des origines et des espèces avec une réflexion ludique (pour les jeunes qui viennent en force) sur les dangers actuels qui menacent la planète.
Et quelle architecture simple et logique entre cristal et nuage…
Un grand merci à Oline Ox et aux encyclopédies de toutes sortes vers lesquelles elle nous envoie, sinon ad maximam dei gloriam, du moins ad maximam naturae considerationem. Tout à l’heure peut-être un petit tour au National History Museum de Londres, qui détient encore quelques chers disparus et je tâcherai de trouver toutes ces jolies bêtes encore un peu là dont il faut que je note le nom.
Nommer, dessiner: faire mémoire, que tout au moins n’en disparaisse pas.!