Dans le jardin, le « gendarme » ou pyrrhocore est une punaise très commune, facile à trouver.
Son accouplement est étonnant, il peut durer plusieurs jours, y compris durant les déplacements, l’un avance, l’autre recule !
Je me demande si cette façon de copuler ne les rend pas plus vulnérables à leurs éventuels prédateurs (en ont-ils d’ailleurs ? Et lesquels ?)
En cas de besoin de fuite rapide, qui décide dans quel sens aller ? Le plus déterminant est-il celui qui tire, ou celui qui pousse ?
Questions bien oiseuses j’en conviens.
Cette photo me fait en tous cas retrouver mon émerveillement d’enfant dans la contemplation de toutes les petites bêtes dans leur vie têtue et silencieuse. Merci !
La coloration de cette punaise a en effet valeur d’avertissement à l’encontre des prédateurs, tous les insectes vêtus de rouge et noir étant réputés immangeables en raison de leur âcreté, voire carrément toxiques. Cela limite les dangers.
Cependant, oiseaux, araignées, guêpes ou frelons sont leurs prédateurs naturels.
Quant à la vulnérabilité lors d’une copulation, elle existe bien, et s’étend à un grand nombre d’espèces animales, mammifères y compris.
Je me demande si cette façon de copuler ne les rend pas plus vulnérables à leurs éventuels prédateurs (en ont-ils d’ailleurs ? Et lesquels ?)
En cas de besoin de fuite rapide, qui décide dans quel sens aller ? Le plus déterminant est-il celui qui tire, ou celui qui pousse ?
Questions bien oiseuses j’en conviens.
Cette photo me fait en tous cas retrouver mon émerveillement d’enfant dans la contemplation de toutes les petites bêtes dans leur vie têtue et silencieuse. Merci !
La coloration de cette punaise a en effet valeur d’avertissement à l’encontre des prédateurs, tous les insectes vêtus de rouge et noir étant réputés immangeables en raison de leur âcreté, voire carrément toxiques. Cela limite les dangers.
Cependant, oiseaux, araignées, guêpes ou frelons sont leurs prédateurs naturels.
Quant à la vulnérabilité lors d’une copulation, elle existe bien, et s’étend à un grand nombre d’espèces animales, mammifères y compris.
« La vulnérabilité lors d’une copulation s’étend à un grand nombre d’espèces animales, mammifères y compris », oui… Oui ?