Visages énigmatiques en effet. Sont-ils interrogatifs, en attente, ou bien fermés, blasés, absents, absentés plutôt ?
Ou encore sont-ils les deux à la fois, expression de ce que Freud appelle la « belle indifférence », destinée cacher par avance l’éventuelle déception de son désir : « même pas mal ». Et peut être autant son éventuelle satisfaction : « même pas bien ». C’est pourquoi papa Sigmund rapporte cette indifférence surtout à l’hystérie.
Ainsi oui comme tu dis : »jeu d’échecs, jeu de ruse ».
Oui, cela devient « cacher/ cachère », dans la lecture, une toute autre histoire, Dans le poème d’accompagnement intégral ils sont rois et reine despotes et sanguinaires, ici la place est libre à d’autres interprétations dont la tienne pour laquelle je te dis merci.
Oui leurs visages sont fermés et surtout je trouve sans exultation. La ruse et le secret enferment même les rois dans une grande solitude, mais sauvent les apparences avec une forme d’imperturbable pureté (où l’on retrouve le cacher’). Je rejoins assez Ariane. Contrôler la libido au sens le plus large du terme, se faire une effigie, c’es prendre le pouvoir sur les autres…comme les tyrans et rois qui battaient monnaie à leur profil!
Visages énigmatiques en effet. Sont-ils interrogatifs, en attente, ou bien fermés, blasés, absents, absentés plutôt ?
Ou encore sont-ils les deux à la fois, expression de ce que Freud appelle la « belle indifférence », destinée cacher par avance l’éventuelle déception de son désir : « même pas mal ». Et peut être autant son éventuelle satisfaction : « même pas bien ». C’est pourquoi papa Sigmund rapporte cette indifférence surtout à l’hystérie.
Ainsi oui comme tu dis : »jeu d’échecs, jeu de ruse ».
Destinée « à » cacher bien sûr. Je préfère ne pas imaginer ce que Tonton Lacan dirait de ce lapsus, cet objet « à » manquant …
Oui, cela devient « cacher/ cachère », dans la lecture, une toute autre histoire, Dans le poème d’accompagnement intégral ils sont rois et reine despotes et sanguinaires, ici la place est libre à d’autres interprétations dont la tienne pour laquelle je te dis merci.
Oui leurs visages sont fermés et surtout je trouve sans exultation. La ruse et le secret enferment même les rois dans une grande solitude, mais sauvent les apparences avec une forme d’imperturbable pureté (où l’on retrouve le cacher’). Je rejoins assez Ariane. Contrôler la libido au sens le plus large du terme, se faire une effigie, c’es prendre le pouvoir sur les autres…comme les tyrans et rois qui battaient monnaie à leur profil!