Je ne sais pas pourquoi ce désir de parole vivante, en mouvement, et, j’ose espérer, renouvelée, me libère d’un doute pervers.
Je ne sais pas pourquoi « pervers » est venu s’accoler à « doute ».
Je ne sais pas mais ce faisant il se peut que j’aie visé à côté.
Je ne sais pas pourquoi ce désir de parole vivante, en mouvement, et, j’ose espérer, renouvelée, me libère d’un doute pervers.
Je ne sais pas pourquoi « pervers » est venu s’accoler à « doute ».
Je ne sais pas mais ce faisant il se peut que j’aie visé à côté.
L’essentiel est de laisser les sens se répandre sans soucis,
merci de ce retour, Jean Jacques, ô poète.
Où les corps qui s’ignorent font mine de se parler, se fuyant eux-mêmes…