. De la rêveuse à l’endormie, il y a tout. .trfzze.La main quand elle effleure le sein, telle une fleur, une étamine jaillie de sa corolle, n’est pas impure. Le sein pas plus. .
« Le soleil, sur le sable, ô lutteuse endormie
En l’or de tes cheveux chauffe un bain langoureux
Et, consumant l’encens sur ta joue ennemie,
Il mêle avec les pleurs un breuvage amoureux. »
Stéphane Mallarmé
(le sonnet s’intitule « Tristesse d’été »)
Jolis vers pour ma rêveuse autant que pour mon endormie…
Merci!
toute une absence, aux autres, ou à soi….