Le 1er mai j’aurais dû

 

Comme un goût de paradis

6 Commentaires

  • Laure-Anne Fillias-Bensussan dit :

    Toujours touchée par l’émotion qui frémit dans ce qui est dessiné, ce qui n’y est pas et s’y devine, la lumière et le plaisir d’y baigner et de la rendre, Venise partie remise mais abordée sur le papier, et toujours le paradou à la Zola d’un petit jardin aixois caché…

  • Pierre Hélène-Scande dit :

    Et j’aime beaucoup l’étalement de l’espace sur deux pages avec la pliure du milieu qui suscite à l’occasion un bel effet de brutalité. J’aime beaucoup la brutalité des deux premiers dessins avec les secousses et les brèches de la perspective. Dans le tout premier, Aix vide, me frappe une sensation non tant de vide (l’image est très remplie) que de puissante secousse sismique. Il y a un effet dramatique fort.

    • J L'heveder dit :

      Merci de renvoyer cette dramatisation, reflet du vécu, et merci aussi pour l’agencement astucieux des images qui les met en valeur.

  • Sophie Chambon dit :

    Difficile après ces remarques finement pertinentes qui traduisent en mots l’efficacité de ces croquis à la tendre palette.
    Presque pas besoin de retourner à Aix dont le lumière est bien plus aveuglante. On se confit ( moi en tous les cas😘) dans ce doux enfermement du jardin édenique de la dernière aquarelle. Matissien en diable.
    Un doux interstice de couleurs et traits dans la plus âpre réalité…

    • J L'heveder dit :

      J’aime ce « Matissien en diable », et le renvoi d’une image à l’autre. Modeste, mon travail prend de belles dimensions grâce à ses commentateurs. N’est-ce pas le but de cette revue?

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