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Elles ont de hautes poitrines qui soulèvent leur cœur
Elles vont le long du ciel poursuivre les étoiles
Et marchent à jambes droites
Quand s’achève le jour
Elles ont les joues brûlantes
La nuit les pare de tout l’or des infantes
Elles sont dans les églises en mantilles
Elles prient le dieu
En hauts talons
Rien ne permet de dire si demain elles
Reviendront
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Une Espagne d’un autre siècle, des femmes de notre siècle. J’aime.