Les Jardins de Carnillac

Elle avait la chevelure floue, chatouillante, reflétait la lumière qui se son chemisier aux laissait ses épaules dans les parfums de buis. Ils étaient placés et taillés à la française dans des géométries précises et au sein de leur muret, des agapanthe bleues ou blanches marquaient chaque chambre.

 

Sa jupe de coton blanc de coton parvenait pas jusqu’à ses chevilles. A chaque pas, je voyais devinais un peu plus. Et Puis se tournant elle me vit tout à fait.

A la suite à ce travail, il y eut les remarques de Gabriella Zalapi, qui me permirent d’écrire la version définitive.

Le chemisier mauve légèrement satiné de notre accompagnatrice laissait ses épaules nues. La chevelure floue, chatoyante flottait dans les parfums de buis. Ils étaient placés et taillés à la française dans des géométries précises et au sein de leur muret, des agapanthes bleues et d’autres plantes dont j’oublie le nom marquaient chaque chambre de façon singulière.

Sa jupe blanche de coton ne parvenait pas jusqu’à ses chevilles et à chaque foulée, elle dessinait un pas de danse sur la castine.
Nous marchions en grappe, j’étais transporté.
Puis se tournant un peu vers moi, elle me vit tout à fait.

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