Un gros pavé ( plus de 1000 pages dans la coll.Folio., préface de Virginia Woolf..) ce roman de George Eliot, Middlemarch, semble avoir été conçu pour le confinement : il prend le lecteur au piège d’une société étriquée, d’intrigues tortueuses et étouffantes, d’une morale de calfeutrés enserrés dans les rets d’interdits  contraignants, au milieu des « enclosures »…(j’exagère).
Bref, captivant, dans tous les sens du mot .
           Que rêver de mieux pour se libérer, intérieurement, sans attestation dérogatoire  ?

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