Ils s’approchent à peine de notre réalité, de ce que nous voulons leur signifier, leur donner.
Et pourtant pour eux, nous devenons toutes les femmes,
les éplorées, les resplendissantes,
les paisibles, les porteuses de flamme,
femmes elfes, princesses, créatures.
Nos torsions de croupe, de buste, de cous,
nos élancements, écartements, écartèlements de bras, mains, jambes, pieds,
sont autant de mises en scènes,
invites à la poursuite, à la protection,
au recueillement,
à la pitié, à l’admiration,
nous leur donnons La Femme,
sa chair et toute l’histoire de son lien avec l’Homme.

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